079/612.98.35 Rue de la Porcelaine 3, 1260 Nyon cmauron.psy@gmail.com

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Psychothérapie Cognitivo-Comportementale (TCC)

L’approche psychothérapeutique la mieux validée scientifiquement.
En thérapie individuelle, de couple ou groupal.

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Thérapie par Exposition en Réalité Virtuelle (TERV)

Permet d’affronter ses phobies dans le cadre sécurisé du cabinet

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Relaxation

Pour diminuer le risque de rechutes, gérer ses émotions et améliorer son bien-être au quotidien.

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Thérapie en dehors du cabinet

Selon les besoins de chacun, soit à votre domicile, dans un lieu neutre ou encore en pleine nature pour marcher.

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Bilan psychologique

Pour enfant (dès 6 ans), adolescents ou adultes. Possibilité de faire des tests de QI, de personnalité

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Psychologie de conseil

Pour les soucis du quotidien: quand on se retrouve perdu et qu’on a besoin d’un point de vue extérieur pour avancer

Quelques mots pour me présenter

Psychologue FSP, psychothérapeute reconnue au niveau fédéral, j’ai travaillé pendant plus de 10 ans comme psychologue à Genève (en institution et en cabinet privé). Suite à ce parcours, je décide d’ouvrir mon propre cabinet à Nyon, dans un cadre idyllique, au bord du lac. Je travaille essentiellement avec des adultes et adolescents dont les demandes peuvent être variées : tests de QI, troubles anxieux, troubles de l’humeur, coaching,… Mon approche est centrée sur les besoins du patient et s’adapte à son rythme. Au bénéfice d’une autorisation de pratiquer, mes prestations psychothérapeutiques sont prises en charge par l’assurance complémentaire ou par l'assurance de base moyennant une prescription médicale.

FAQ

Questions fréquentes
Les raisons pour consulter sont variées: dépression, trouble anxieux, difficulté à s’adapter à une nouvelle situation, difficulté de couple, difficultés au travail,… L’important est de consulter quand vous sentez que, malgré vos efforts et le temps, la situation ne s’améliore pas.
Le juste dosage est important. Trop tôt, la situation pourrait s’améliorer d’elle-même mais trop attendre pourrait entraîner une cristallisation du problème et rendre donc la thérapie plus longue et complexe. Ainsi, le bon juge, c’est vous. Quand vous sentez que vos difficultés vous envahissent; que vous y pensez très, trop fréquemment et que cela a une influence sur plusieurs domaines de votre vie (professionnelle, familiale, sociale, associative, ….) alors c’est un bon indicateur que c’est le moment de vous faire soutenir.
Il existe plusieurs critères. Le premier est la qualité de sa formation. En effet, seul le titre de psychothérapeute est protégé en Suisse et est réservé aux psychologues ou psychiatres qui ont suivi une formation complémentaire en psychothérapie de minimum 5 ans. Ainsi, les personnes se présentant comme thérapeute spécialisé en psychologie, expert en psychothérapie, coach de vie, etc. n’ont pas de formation adéquate pour faire de la psychothérapie. Tout comme les psychologues (sans le titre de spécialisation de psychothérapeute) qui n’ont uniquement suivi le cursus universitaire de psychologue sans la formation continue qui est axé sur la thérapie. Les troubles psychologiques sont nombreux, complexes et très différents d’une personne à l’autre. C’est pourquoi il est très important de choisir quelqu’un qui a une bonne formation. Le titre FSP (Fédération Suisse des Psychologues) ou FMH (pour les psychiatres) sont un gage de formation adéquate tout comme le titre de « psychothérapeute reconnu au niveau fédéral ». De plus, seuls les personnes correctement formées et ayant le titre de psychothérapeute peuvent être remboursés par l’assurance complémentaire.

Le second critère est l’orientation de la psychothérapie. On dénombre classiquement quatre courants en psychothérapie: humaniste (ou Rogérien, ou centré sur la personne), psychodynamique (ou psychanalyse), systémique et cognitivo-comportementale. La thérapie humaniste est basée sur l’écoute active et bienveillante du client. Elle a permis le développement de techniques psychothérapeutiques de base utilisées dans presque toutes les approches. Le courant psychodynamique est la version plus moderne et courte de la psychanalyse. Ce courant a pour objectif de traiter la source du problème se situant souvent, selon cette approche, dans l’enfance ou dans l’histoire familiale. Cette approche est à conseiller pour des personnes cherchant plutôt à se connaître ou à travailler en profondeur sur des difficultés (qui ne sont pas des troubles au sens du DSM-5 ou de la CIM-10). L’approche systémique est surtout adaptée pour les prises en charges des familles et des couples qui n’ont pas de troubles. Elle permet de replacer l’individu dans son histoire familiale et de déterminer son rôle au sein du système (le couple, la famille nucléaire ou la famille élargie). Finalement, la thérapie cognitivo-comportementale est à conseiller pour les personnes souffrant de trouble psychologique. C’est une thérapie à visée de réhabilitation (guérir une maladie psychologique), qui se veut brève. On y travaille dans l’ici et maintenant dans un rapport collaboratif entre le thérapeute et le patient.

Le troisième critère a prendre en compte est la formation initiale. Les psychologues ont suivi un cursus universitaire de 5 ans purement en psychologie. Ils sont les seuls habilités à faire passer des tests (QI, neuropsychologie, personnalité ou autre). Les psychiatres ont suivi une formation de médecine puis se sont spécialisés en psychiatrie. Ils sont les seuls habilités à donner des médicaments et à être remboursés par l’assurance de base.

Finalement le quatrième critère et, à mon sens le plus important, est le feeling. La psychothérapie est avant tout une relation entre un thérapeute et son patient. Pour qu’elle soit efficace, il faut que ces deux partenaires collaborent et aient confiance l’un envers l’autre. Ainsi, je vous conseille de vous poser ces questions à plusieurs moments dans la thérapie: « est-ce que mon thérapeute m’écoute réellement avec bienveillance et attention? », « est-ce que la thérapie suit l’évolution que je voudrais? », « est-ce que j’ai confiance en mon thérapeute? », « mon thérapeute me semble-t-il compétent? »,… Si vous répondez « non » à l’une de ces questions, je vous encourage à en parler avec votre thérapeute. Il peut arriver, au cours de la thérapie, que le thérapeute se montre plus directif par exemple, et que vous soyez moins confortable avec cela mais, vous devriez en tout temps, savoir que les techniques mises en place sont dans votre intérêt. En cas de doute, n’hésitez pas à en parler et, le cas échéant, à changer de thérapeute. De même, vous devez vous sentir accueilli par votre thérapeute, à l’aise le plus rapidement possible. C’est un critère important pour pouvoir oser parler de tous vos problèmes, même les plus inavouables 😉
Lors d’une première séance, il est normal de ne pas se sentir à l’aise, d’être anxieux surtout si vous n’êtes pas habitué de cette démarche. C’est le rôle du psychothérapeute de vous mettre à l’aise. Lors de cette séance, nous allons faire connaissance. Je vous expliquerais mon parcours professionnel, comment je travaille et vous poserais également plusieurs questions pour apprendre à vous connaître et savoir ce qui vous amène à entreprendre une démarche psychothérapeutique. Nous allons également remplir ensemble votre dossier. Vous n’avez rien besoin de préparer; je m’occupe de tout car, oui, si vous vous n’êtes pas habitué par cette démarche, je le suis et vous guiderais et plus particulièrement lors des premières séances.
L’approche thérapeutique utilisée, la psychothérapie cognitivo-comportementale, est une thérapie se voulant brève et axée sur le problème ici et maintenant. Ainsi, après une phase initiale pour faire connaissance et établir le contrat thérapeutique (2-3 séances), nous rentrerons directement dans le vif du sujet afin d’avoir rapidement des effets concrets sur votre vie quotidienne. La durée d’une psychothérapie est très variable en fonction du trouble, de sa gravité, de sa cristallisation (si cela fait longtemps que vous souffrez de ce trouble), de la comorbidité (s’il y a d’autres problèmes en même temps), du soutien social, des croyances du patient, de la qualité de la relation thérapeutique,… Par exemple, il est communément admis qu’une psychothérapie sur une phobie spécifique (p.ex., peur de prendre l’avion), sans comorbidité, dure 14-20 séances, tout compris.
Afin d’améliorer l’efficacité de la psychothérapie, il est conseillé, dans un premier temps d’avoir une séance hebdomadaire. En fin de thérapie, 2-3 séances seront prévues pour la consolidation, le suivi et la prévention de la rechute.
N’hésitez pas à me contacter (par mail, téléphone ou via le formulaire de contact) pour toute autre question. Je serais vraiment ravie de vous répondre.

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